"Cheval"
« Cheval »
Déprimé, je déambule sous les étoiles.
Pour quitter mes pensées obscures qui cavalent.
Les souvenirs qui sans lumière m’emprisonnent.
La blessure qui saigne encore et m’empoisonne.
La crinière qui flotte au vent,
Mon cheval de consolation,
M’emporte loin de mes tourments.
La chevauchée sans horizon.
Quand la belle aurore me montre ses yeux roses.
L’heure où toutes les jolies fleurs enfin éclosent ;
La paix printanière sifflote dans mon cœur.
Le sourire aux lèvres, mes pensées sont en fleurs.
La crinière qui flotte au vent,
Mon cheval d’espoir et de joie ;
Fougueux galope à travers champ.
Conquérant destrier de roi.
Un cheval blanc m’a emmené dans ta prairie.
En cavalcade il m’offrit ton cœur pour la vie.
Ce cheval robuste nous porte au paradis.
Notre bel Éden que chaque printemps fleurit.
Cheval !
Quand viendra le temps, pour mes pensées de faner,
Arrivera la nuit d’un regard sans clarté.
Cheval !
Plus aucune conquête, plus aucun voyage.
Un drap blanc viendra couvrir mon pâle visage.
La crinière qui flotte au vent,
Ce sont deux beaux destriers noirs ;
Qui viendront le pas triste et lent.
La chevauchée sans au revoir…
Christian Castelli
Ed1 "SINGE VERT"
Déprimé, je déambule sous les étoiles.
Pour quitter mes pensées obscures qui cavalent.
Les souvenirs qui sans lumière m’emprisonnent.
La blessure qui saigne encore et m’empoisonne.
La crinière qui flotte au vent,
Mon cheval de consolation,
M’emporte loin de mes tourments.
La chevauchée sans horizon.
Quand la belle aurore me montre ses yeux roses.
L’heure où toutes les jolies fleurs enfin éclosent ;
La paix printanière sifflote dans mon cœur.
Le sourire aux lèvres, mes pensées sont en fleurs.
La crinière qui flotte au vent,
Mon cheval d’espoir et de joie ;
Fougueux galope à travers champ.
Conquérant destrier de roi.
Un cheval blanc m’a emmené dans ta prairie.
En cavalcade il m’offrit ton cœur pour la vie.
Ce cheval robuste nous porte au paradis.
Notre bel Éden que chaque printemps fleurit.
Cheval !
Quand viendra le temps, pour mes pensées de faner,
Arrivera la nuit d’un regard sans clarté.
Cheval !
Plus aucune conquête, plus aucun voyage.
Un drap blanc viendra couvrir mon pâle visage.
La crinière qui flotte au vent,
Ce sont deux beaux destriers noirs ;
Qui viendront le pas triste et lent.
La chevauchée sans au revoir…
Christian Castelli
Ed1 "SINGE VERT"
Commentaires
Enregistrer un commentaire